Résumé
La lumiere est le plus grand des peintres quand elle illumine les choses les plus pauvres. Depuis des annees, je suis le servant de cette lumiere-la, qui n’a rien de divin. Dans la solitude ou je vis, elle m’offre le silence, sans oublier la folle rumeur de l’Histoire que nous connaissons tous. BrUule par ce feu lorsque j’ecris, je ne sais plus ou je suis, ou je vais. S’invente alors la magie des souvenirs, qui ne sont plus les miens. Le regard a toute sa place dans cette aventure.