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Retour vers les hautes combes

Une journaliste revient dans ses montagnes pour y écrire un reportage mais rien n’est simple. Quelque chose la hante. Peu à peu, lui reviennent à l’esprit les événements de l’été soixante-seize. L’été de la sécheresse. Des jeunes fous de liberté habitaient les fermes abandonnées, vivaient intensément, s’aimaient, se quittaient. La frontière entre la violence des désirs et la violence était ténue. Deux récits s’enchevêtrent, celui d’aujourd’hui, celui d’une réconciliation avec son territoire et son passé et celui d’hier avec ses bonheurs et ses drames. En arrière-fond de ces deux récits, un hymne à ce pays si particulier, les Hautes Combes, à leurs habitants, leurs paysages, leur rudesse et à leur force de vie.