Résumé
J’ai habite toutes sortes de chambres. Je passais la, inconnu. Puis j’ai vu tout le remue-menage dans le monde, vivant ici ou la, pour prendre la mesure du desastre. Mais certains ne veulent pas voir le desastre qui s’annonce. Surtout pas. Je regardais la route, je cherchais d’autres chemins. Je voulais la route. J’ai toujours voulu la route. Tourne le dos a ce desastre qui est aussi le mien. J’ai quitte le village pour entreprendre de lents detours. Je me suis installe dans vos villes qui sont devenues des enfers. J’ai vu vos agissements de fourmi. Siecle de fourmis, de petits boutiquiers. Ou est le coeur, ou est l’ame, ou sont la joie et le rire Ou est l’amour, l’amour des gens, des plantes, des animaux, du Vivant Ou est l’amour fondu dans vos pieces d’or Ou est la lenteur sous les roues de vos automobiles Je pars car il n’y a plus de lenteur dans votre ville, et l’homme, c’est le genie, c’est la lenteur, c’est le regard qui boit le paysage.