Présentation
L’écriture ciselée de ces textes poétiques leur confère un rythme qui s’apparente à celui que J. Ancet compare au ruisseau, tantôt calme, tantôt violent, qui emporterait le lecteur à la surface de ses eaux puis l’engloutirait l’instant d’après dans la profondeur de ses courants, bercé par le son d’une voix aux élans multiples et maîtrisés, même quand elle se fait intime.