Présentation
Ce sont de longues avenues de cimes comme j’aimerais que vivre fut où la brume ce matin recule les arbres dans une féerie immobile où j’avance seul dépaysé de l’homme
Ce sont de longues avenues de cimes comme j’aimerais que vivre fut où la brume ce matin recule les arbres dans une féerie immobile où j’avance seul dépaysé de l’homme