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Le violon noir
Arléa Décembre 2004
147p. ; 22 x 16 cm, 22,5EUR

Manque provisoirement

Présentation

À Venise, alors envahie par les troupes napoléoniennes, Johannes Karelsky, violoniste au talent reconnu dès l’enfance, enrôlé dans l’armée française et blessé au combat, trouve domicile chez un mystérieux luthier, passionné d’échecs et amateur d’eau-de-vie.

Très vite, entre ces deux hommes du secret, se noue une complicité faite de respect, de silence et de musique, qui se changera en une amitié que la simple évocation d’une voix de femme, dont on ne sait au juste où elle les entraînera, scellera jusque dans la mort.

Le violon noir, douleur et chef-d’oeuvre du luthier, est-il en fin de compte l’instrument de leur perte ou de leur rédemption ?

Après Neige, où Maxence Fermine a décliné l’Orient, le froid et le blanc, Le Violon noir, avec la même exigence, la même langue concise et poétique, nous parle de la guerre, de l’amitié, de l’alcool, et de la puissance du noir.

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Maxence Fermine (fiche complète)