Présentation
J’écoute couler l’Allier Dans l’air s’évadent les murs du savoir ancien Le rosé d’amandier des fleurs péries dans le vent constelle de beauté phrygienne la vallée Maintenant il n’y a plus que moi qui porte le visage fatigué de maman Je suis sans nouvelles de notre vie d’avant Je ne dis rien Je laisse venir et se taire Je m’accroche ignorant au vaisseau C’est mon bien Notre amour a franchi ses rivières