Résumé
– Dites, monsieur Peyroulet, je ne veux pas aller contre la volonte de mon Amedee, mais vous croyez que c’est bien raisonnable, cette idee de devenir coureur cycliste Avec son infirmite… – Vous savez, madame Fario, dans la tete de votre petit-fils, il n’y a pas d’infirmite ! Il n’y a qu’une enorme volonte, comme pour compenser son handicap. Le mieux que l’on puisse faire c’est de continuer a le soutenir.