J’y suis, j’y suis toujours
Lionel Bourg
Présentation
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Pas d’illusions, n’empêche.
Le désert s’accroît, ses dunes hérissées de barbelés ou de blockhaus technologiques.
Des flux s’y dispersent.
Les vents de sable, qui s’y déploient selon des réseaux que l’absence paradoxale de proximité détermine, poussent devant eux des troupeaux d’avatars, de fantômes, dissimulant à la vue des touristes ou des néo-nomades, fussent-ils bardés d’écrans et de capteurs sophistiqués, des mirages d’une plus dramatique envergure. La cuistrerie n’en progresse qu’avec moins d’états d’âme.
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L. B.
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