Présentation
Larme d’exil, coule pas facile, De Brazzaville, s’arrête à Belleville. Un pied dans le bonheur, un dans l’espoir, Puis ça s’est coincé entre la vie et elle. Le soleil moite, caressait la peau, Elle se délave sous le manteau d’hiver. Où restent les contes, les bruits, le Mbongui ! À bwé tou bwéni, A bwé tou sah, Mansangaza mou ntsima wa Koongo ! Mansangaza mou boungou dia Bâala !