Présentation
L’usine où travaille Robert Piccamiglio depuis vingt-cinq ans n’est pas celle des journalistes, des sociologues, des patrons, ni même des travailleurs. C’est un espace immense et hostile qui dévore le tiers de la vie d’un homme, une zone de bruit, de fatigue et d’ennui, où il faut bosser, se battre, attendre, rêver.