Présentation
À la fin des années 1960, le jeune photographe Bernard Agreil tombe sous le charme du Vieux-Lyon, de ses traboules et de ses ruelles pavées. Davantage encore, il se montre attentif à ses habitants et passants. Muni de deux appareils Nikon, il saisit en une trentaine de pellicules le charme simple du quotidien qui animait alors les quartiers Saint-Jean, Saint-Paul et Saint-Georges. Un demi-siècle plus tard, l’écrivain Gilbert Vaudey se laisse porter par ces images, et évoque à son tour le Vieux-Lyon d’avant la sauvegarde du secteur historique.
À travers le regard de deux arpenteurs passionnés par leur ville natale, « Vieux-Lyon, années 1960 » redonne vie au tableau d’une société disparue, en quelques instantanés qui sont autant de trésors inestimables.